21 novembre 2010
Et puis y a toi mon frère, oui toi qui n'y crois plus. Et puis y a nos prières, et nos causes perdues.
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre, sont nos amours toujours au bord du précipice. N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts ? Ne vois tu pas le ciel à la portée des doigts ? Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre. De...